Chaque année, le mois de mai compte au moins 3 jours fériés : la Fête du travail (le 1 mai), la commémoration de la fin de la Seconde Guerre mondiale (le 8 mai) et l’Ascension (le 30 mai). Alors ne tardez pas à vous organiser !
Le 1 mai : un jour férié particulier
Puisqu’il est associé à la Fête du travail, le 1 mai est le seul jour férié obligatoirement chômé. Autrement dit, tous les salariés doivent se voir accorder un jour de repos. Exception faite, toutefois, des employés des établissements et services qui, en raison de la nature de leur activité, ne peuvent pas interrompre le travail : transports, hôtels, cafés, restaurants…
Le 8 mai : un jour férié dit « ordinaire »
Peut-être disposez-vous d’un accord d’entreprise qui détermine si vos salariés doivent venir travailler ou non le 8 mai. Si ce n’est pas le cas, vous devez vous référer à votre convention collective. Et lorsque celle-ci ne dit rien, il vous appartient alors, en tant qu’employeur, de décider si le 8 mai est un jour travaillé ou chômé dans votre entreprise.
Le 30 mai : un jour férié et peut-être un jour de pont
Comme le 8 mai, le 30 mai est un jour férié dit « ordinaire ». Autrement dit, c’est un accord d’entreprise ou, à défaut, votre convention collective qui va déterminer si vos salariés doivent venir travailler ou bénéficier d’un jour de repos. Et, en l’absence d’accord sur le sujet, c’est à vous de trancher la question.