Lorsqu’une entreprise en difficulté économique fait l’objet d’une procédure de sauvegarde ou de redressement judiciaire, un certain nombre d’actes ou de contrats ne peuvent être conclus qu’avec l’autorisation du juge chargé de la procédure ou l’assistance de l’administrateur judiciaire s’il en est nommé un. En revanche, le chef d’entreprise conserve le soin de la gestion quotidienne de l’entreprise : les actes dits « de gestion courante » qu’il accomplit seul sont réputés valables à l’égard des tiers (fournisseurs, clients…) de bonne foi.
Articles récents
- Jours fériés : c’est le moment de vous organiser !
- Réductions des cotisations sociales patronales en 2025 : les dernières précisions
- Rupture d’une relation commerciale établie : et pendant le préavis ?
- Prorogation de deux crédits d’impôt spécifiques aux exploitants agricoles
- Une diminution de l’exonération des cotisations sociales bénéficiant aux apprentis