Dans une affaire récente, une société civile immobilière (SCI) avait loué un appartement à des époux. Puis, un jugement de divorce avait attribué le bail à l’ex-épouse, qui était par la suite décédée. La SCI, qui n’avait pas été avertie du divorce et à laquelle l’ex-époux n’avait pas donné congé, avait alors assigné ce dernier en paiement des loyers dus entre le décès et la date de restitution des clés. Car, selon la SCI, le divorce mettait certes fin à la cotitularité légale du bail entre les époux mais la solidarité prévue dans le contrat de bail demeurait.
Articles récents
- Prélèvement à la source : pensez à renouveler votre changement de taux !
- Vente de fruits et légumes frais : les emballages plastiques ne sont plus interdits !
- L’aide à l’embauche des emplois francs prendra bientôt fin
- Quand le salarié refuse une modification de ses conditions de travail
- Du nouveau pour l’assiette de calcul du CIR